12 février 2011
Plus d’un an s’est enfui, le temps file si vite !
Tu achevais un changement de logement.
Une femme déjà, mais encore une enfant.
Comme beaucoup d’entre-nous, gamins ou parents,
Coincés entre nos rêves, toujours si présents,
Et la réalité étriquée qui nous limite !
Ainsi ta jeunesse, excessive et fougueuse,
Rencontrait mes humeurs sereines et tranquilles !
En construisant mon chemin avec ta maman,
J’essayais de porter un regard bienveillant
Pour répondre à ta quête de petite fille.
Comme une épaule pour une gosse rêveuse !
Et puis, à ton tour, tu as éclairé mon heure,
Un jour où la vanité m’aveuglait un brin.
Tu as trouvé des mots sages et prévenants !
Aujourd’hui que tu franchis le cap des trente-ans,
Trace, sans défaillir, ton auguste chemin !
Explore tous les jolis sentiers de ton cœur !